
Quant à l'architecture de la ville, voire l'urbanisation, c'est pas loin de la catastrophe. Les guides, entre autres le routard, parlent d'un changement depuis que l'on peut dormir chez l'habitant (ou casa particular), car cela permet plus d'humanité. Mais je pense que ce n'est pas certain, et pas gagné. En effet, cela va dépendre énormément dans quelle casa et chez quel logeur l'on tombe... Personnellement, la notre n'était pas des plus accueillante. Mais une fois que je lui ai fait quelques compliments sur sa magnifique sur son omelette au fromage, elle s'est détendue! Elle était juste un peu timide ;-)
En résumé, à la Havane, on se fait draguer par les filles, et à Varadero, c'est par les taxis! L'île étant tout en longueur, on a le choix entre se taper des marches de plusieurs kilomètres, pour aller-rentrer de la plage, et pour aller-rentrer de boite, ou alors, de prendre le taxi. Dans tous les cas, si l'on décide comme nous, d'aller à pied, les taxis ne nous oublient pas et nous bénéficions de concert de klaxons durant nos nombreuses marches, cela pour nous demander si, des fois, nous n'aurions pas oublié de prendre... le taxi ;-)))

Rendons à César ce qui est à César, Varadero bénéficie de magnifiques plages de sable fin, d'une eau digne des mers des Caraïbes, bref, superbe!
Dommage qu'il n'y ait qu'une seule cabane-bar de plage sur les 20 kilomètres de plage...
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